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Une maison vraiment pas comme les autres a été construite sur le quartier Bottière à l'occasion de la Nantes Digital Week 2017 : c’est un robot qui a élevé ses murs, en deux ou trois jours seulement, à la manière d’une imprimante 3D géante !
« Les parois sont produites en mousse de polyuréthane, qui sert à la fois d’isolant et de coffrage pour couler du béton. Ne reste ensuite qu’à poser le toit et les ouvertures », explique Alexandre Ambiehl, l’un des cinq ingénieurs mobilisés à temps plein sur ce projet, nommé Batiprint et fruit d’un partenariat entre Nantes Métropole Habitat et les chercheurs de l’université de Nantes.
Le procédé pourrait révolutionner la fabrication de logements, en réduisant considérablement les coûts de gros oeuvre et les déchets de chantier.
« Nos partenaires, dont la SATT Ouest Valorisation, le CSTB, Bouygues et Covestro, suivent de près nos travaux », observe Alexandre Ambiehl, qui a trouvé à Nantes un terrain de jeu à sa mesure.
« J’ai besoin d’être dans l’opérationnel, le technique », reconnaît-il. C’est au sein du laboratoire universitaire nantais qu’il évolue aujourd’hui.
Son projet annonce-t-il la fin du métier de maçon ? Alexandre Ambiehl répond par une pirouette : « Si la France ne se lance pas aujourd’hui, dans quelques années nous serons obligés d’acheter une machine équivalente en Chine… »