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Ils défendent les minorités sexuelles au sein du Centre « lesbiennes, gays, bi, trans, intersexe et plus » de Nantes.
Ils accueillent chaque année près de 8 000 personnes à la Pride, le grand défilé qu’ils organisent dans les rues de la ville. Une manifestation festive et revendicative dont le slogan – « Discrimination, oppression, violence : l’égalité est une urgence » – résume les priorités portées par les nouveaux responsables de Nosig (Nos orientations sexuelles et identités de genre).
Deux étudiants à l’orée de leur vingtaine ont pris, à la rentrée 2017, les rênes de cette association pilotant le centre LGBTI+* de Nantes. Noé Parpet et Émilie Bourdon, élus président et vice-présidente, sont issus du syndicalisme lycéen et étudiant. Ils sont épaulés par Martine Letellier, « pilier de l’association » mobilisée sur les questions de genre et devenue elle aussi vice-présidente.
Fil rouge de cette « génération très militante » : « L’accès aux droits des LGBTI+ » avec une attention particulière pour « les personnes précarisées et marginalisées, comme les trans et les migrants », pointe Noé Parpet.
Cela passe par « des actions sur le terrain et une plus grande visibilité du centre », installé 3, rue Dugast-Matifeux. C’est ici que se mène au quotidien la lutte en faveur des droits des minorités sexuelles, d’abord par des permanences et des temps d’accueil. Les questions abordées : genre, parentalité, santé sexuelle, sexuelle… « Urgences ou simples interrogations, on répond à tout type de demandes, poursuit Noé Parpet. On écoute et on relaye, puisque nous regroupons une dizaine d’associations et travaillons avec de nombreux partenaires. »