C’est la tradition, les Tables de Nantes se concluent par la tenue d’un grand marché des producteurs régionaux, une façon de conclure l’événement par un focus supplémentaire sur la question du manger local.
A partir de 11h, une centaine de producteurs viendront vendre leurs produits sous les Nefs. Bonnes odeurs et produits appétissants garantis ! Des tables seront mises à disposition du public qui souhaitera consommer sur place le fruit de ses pérégrinations gourmandes.
Touche sucrée
Cette année, un food hall viendra s’ajouter, préfigurant celui qui doit s’installer quelques hectomètres plus loin dans les anciennes halles Alstom. Ses occupants ? Quatorze cuisiniers nantais révélations du guide des Tables de Nantes. « Chacun proposera un plat salé au sein de la cantine, un peu plus consistant que lors de la Nuit des Tables de Nantes pour 7 euros », résume Richard Baussay. On retrouvera notamment Ludovic Pouzelgues (Lulu Rouget), Nicolas François (Les Chants d’Avril) ou encore Nhung Phung (Song), mais pas seulement.
Et pour finir sur une touche sucrée, deux propositions : un dessert à la vanille de Madagascar signé Vincent Guerlais, et le Petit Coiffard, gâteau vainqueur du concours lancé par la librairie pour ses 100 ans.
Enfin, la Hab Galerie consacrera un après-midi au Projet alimentaire territorial, baptisé « Bien manger à Nantes » au travers de trois débats d’acteurs. Depuis 2 ans, Nantes Métropole a initié cette démarche auprès de multiples acteurs du territoire (collectivités, associations, professionnels, entreprises, citoyens) avec pour objectif de dégager des solutions pour une alimentation saine, durable et accessible.