Cinq bonnes raisons d’aller faire un tour de Bar-Bars

1 - Profiter de cinq jours de fête (presque) gratuitement

Cette année, c’est un format XXL du festival avec cinq jours de festivités, contre trois habituellement. La plupart des événements sont gratuits, une belle occasion de faire le plein de découvertes. Pour que la fête soit plus belle, la modération reste de mise. Des stands de prévention jalonnent la métropole pour que tout se passe au mieux.

2 - Découvrir des lieux…

Si vous avez vos habitudes dans un bar ou un club de la ville, pourquoi ne pas explorer la programmation et se laisser porter au gré des envies dans les rues nantaises ? Le festival est l’occasion de pousser la porte d’établissements et se laisser surprendre. À ne pas rater : l’anniversaire du Micro Comedy Club, le concours de fléchettes du TDL (26 novembre) ou la programmation fournie du BB’O tout au long des cinq jours.

3 - … et des artistes

Avec 315 événements programmés à Nantes et dans la métropole, il y en a pour tous les goûts et tous les styles. Véritable tremplin pour les artistes émergents, chaque lieu décide de sa programmation. Si Culture Bar-Bars est souvent associé dans l’imaginaire collectif à la musique live, le festival est aussi l’occasion de découvrir du stand-up, des shows Drag, des expositions ou de la danse ! Parmi les temps forts : l’exposition de Tifenn Pinson au Lord’s Pub (26 novembre), Aïda au Bar303 (27 novembre), Lenparrot à Belle de Jour (28 novembre), Prince Ringard à L’Ortie Rousse (28 novembre), Show me my drag au Little Atlantique Brewery (29 novembre) ou encore Idik aux Impertinant.es (29 novembre).

4 - Participer à un grand événement 

Saviez-vous que Culture Bar-Bars est le deuxième événement culturel français après la fête de la musique ? Cette année, ce sont près de 230 lieux de vies dans 70 villes qui vont s’animer, et 2000 artistes qui régaleront le public, parrainé par les musiciens nantais Ko Ko Mo et l’humoriste Tahnee. « Cinq soirées pour affirmer l’importance de ces scènes qui, au quotidien, font vivre la musique, la culture underground et alternative, tout en rassemblant les passionné·es, en mettant à l’honneur les métiers qui les animent et en faisant résonner l’énergie d’une fête libre et engagée ! » rappelle l’équipe organisatrice.

5 - Sortir de chez soi alors que l’hiver pointe le bout de son nez

Le festival est né d’un constat : à la fin novembre, les bars nantais se vidaient. Alors, à cette période où l’on a souvent plus envie de rester sous la couette que de sortir boire un verre, Culture Bar-Bars relance la motivation ! « L’idée était de mobiliser le public et affirmer que ces lieux de vie avaient besoin d’eux pour continuer d’exister » raconte Jeanne Caillaudeau. Le pari est réussi puisque l’année dernière, près de 160 000 personnes y avaient pris part dans toute la France.