Plusieurs acteurs économiques et culturels majeurs ont en effet témoigné de leur adhésion à l’œuvre imaginée par Pierre Oréfice et François Delarosière. À commencer par le créateur du festival Hellfest, Ben Barbaud, qui a souligné « la qualité ahurissante du projet, qui va rayonner bien au-delà de Nantes ». « Cela va générer énormément de revenus et de visibilité pour la métropole », a renchéri Yann Trichard, président de la CCI Nantes Saint-Nazaire, assurant que « l’Arbre aux hérons sera à Nantes ce que la Tour Eiffel est à Paris ».
« La métropole a besoin d'être attractive sur les fondamentaux qui sont les siens : la capacité à faire rêver à accueillir, à être accessible par l'ensemble des citoyens », a résumé Bruno Hug de Larauze, président du Fonds de dotation Arbre aux hérons et Jardin extraordinaire, qui collecte des fonds privés auprès d’entreprises et de particuliers pour participer au financement de l’Arbre. Celui-ci traduit de manière sonnante et trébuchante le soutien collectif au projet : au jour du dévoilement des études, 45 entreprises et 5 667 particuliers ont participé financièrement, pour un peu plus de 6 M€ au total. La participation ouvre droit, depuis 2019, à des réductions de 60 ou 66% d'impôts.