Les chiffres clés de Produire au sud
- 72 ateliers Produire au sud depuis 20 ans
- 900 personnes environ sont passées par les ateliers
- 130 films environ ont pu voir le jour
« C’est à la fois une vitrine et un tremplin. À travers les films de quelques auteurs emblématiques, nous allons revisiter ce qu’il s’est passé, aller à la rencontre d’un public plus local et établir des liens avec des festivaliers. Dans le même temps, le F3C accueillera à l’IEA-Nantes la 21e édition de l’atelier de formation aux outils de la coproduction internationale. Nous allons y soutenir les projets de long métrage de six binômes producteur/réalisateur. »
« Un atelier Produire au Sud dure en moyenne une semaine et fait intervenir des professionnels locaux ou internationaux : producteurs, scénaristes, vendeurs, diffuseurs… On y aborde les différentes étapes de la chaîne de production d’un long métrage au niveau international. La sélection des projets que nous soutenons se base sur le profil et l’expérience. Il faut que le projet puisse intéresser un producteur étranger, qu’il ait aussi un potentiel artistique. L’expertise de Produire au Sud est reconnue : c’est un vrai visa, qui peut garantir au film d’aboutir. »
« En 2000, il y avait un déficit réel de formation dans les pays des 3 Continents en termes de production, c’est-à-dire toutes les étapes qui vont du scénario à la première du film dans un festival. Les premiers ateliers ont eu lieu à Nantes mais dès 2003-2004, le F3C en a mis en place à l’étranger pour répondre à plus de candidats. La dernière décennie a permis d’asseoir Produire au Sud. Aujourd’hui, sept ateliers tournent tout au long de l’année sur les 3 Continents : à Nantes, à Taïwan, en Thaïlande, en Inde, en Afrique du sud, au Maroc, en Israël. Un autre se tiendra bientôt à Recife au Brésil. »
Les chiffres clés de Produire au sud
Plus de 80 films à dévorer au 43e F3C
Du 19 au 28 novembre, l’édition 2021 du festival des cinémas du monde aligne une sélection dopée avec plus de 80 films et trois anniversaires : les 100 ans du studio japonais Schochiku, les 70 ans des Cahiers du cinéma, et les 20 ans de l’atelier Produire au sud. Également dans la programmation : le programme thématique Une place sur terre et le palmarès de l’édition 2020, qui n’avait pu être montré et dont les films demeurent inédits en salle.