Il est un maillon essentiel dans la lutte contre l’insécurité. Ouvert en 2018, le centre de supervision urbain (CSU) de Nantes Métropole intervient quotidiennement pour veiller sur l’espace public, en lien avec les forces de l’ordre et la justice. Son atout ? « Ce n’est pas qu’un centre d’enregistrement : il est piloté en permanence par des hommes et des femmes », souligne sa responsable Catherine Ménétré. Mais comment fonctionne t-il concrètement ?
Le CSU en chiffres
2018
création du centre de supervision urbain
1 600
extractions vidéo réalisées sur réquisition depuis son ouverture
1 300
recherches d’individus ou des véhicules en lien avec les forces de l’ordre