Grandes Voies Vélo : se repérer plus facilement à vélo

La métropole nantaise compte pas moins de 806 km d’aménagements pour les vélos. Reste à se repérer facilement pour trouver son chemin sans hésitation. Neuf Grandes Voies Vélos (GVV) ont été identifiées et vont être « marquées » de A à I. L’objectif ? Bien mettre en valeur le réseau cyclable existant et faciliter la vie des cyclistes, voire inciter les habitantes et les habitants de la métropole à pédaler d’une commune à l’autre, plutôt que de prendre leur voiture. 

Les GVV font l’objet d’une signalisation intuitive grâce à 3 mesures :

• Une carte des GVV pour rendre le réseau cyclable claire et lisible.
• Un marquage au sol pour guider les cyclistes.
• Une signalisation en hauteur, avec des totems pour indiquer la direction à suivre, la distance à parcourir et des informations utiles (proximité de stationnements sécurisés pour vélos, d’abris à vélos, de fontaines, de toilettes, de gonfleurs en libre-service, etc.)
  
  Le petit plus ? Les GVV se connectent, chaque fois que c’est possible, aux parcours Loire à vélo, Vélodyssée, Vélidéale ou encore Régalante.

Lisibilité et confort pour pédaler sans se tromper de chemin.
Sur chacune des Grandes Voies Vélo, la signalétique vous facilite la vie pour que vous puissiez vous repérer facilement. Les trajets sont les plus sécurisés et les plus logiques possibles sur de longues distances. Les itinéraires sont bien balisés, de A à I, où chaque lettre correspond à un trajet, un peu « à la manière » des lignes de bus : 

• A : du Pellerin à Basse-Goulaine.
• B : de Couëron à Mauves-sur-Loire.
• C : de Saint-Herblain aux Sorinières.
• D : de Sautron à Saint-Sébastien-sur-Loire.
• E : de La-Chapelle-sur Erdre à Saint-Aignan-de-Grandlieu.
• F : de Carquefou à Vertou.
• G : de Saint-Léger-les-Vignes à Thouaré sur Loire.
• H : d’Orvault à Basse-Goulaine.
• I : de Bouaye à Orvault.

Le projet prend en compte les retours d’une expérimentation sur les différentes signalétiques menée en 2023, avec 90 réponses au questionnaire en ligne et un atelier mené avec le comité des partenaires de la mobilité, une instance de gouvernance ouverte qui rassemble des associations d’usagers, d’habitants, de commerçants et d’employeurs, les opérateurs de mobilité et des citoyens tirés au sort. Des points d’amélioration ont ainsi été identifiés, comme la cohérence des couleurs entre le marquage au sol et la carte, une meilleure anticipation des trajectoires, le renforcement des liaisons dans les carrefours, la simplification des totems, une localisation plus cohérente des pompes à vélo en libre accès…